Récit d'une célibataire un jeudi soir
Je sais que je suis relativement en retard pour vous faire un compte rendu de mon Ladie’s Night aux Fouf’, mais que voulez-vous il fallait que ça mijote. J’ai cru aussi que ça n’allait pas être d’un grand intérêt, mais comme j’ai l’impression que mon blogue est plutôt déserté, une personne de plus qui quitte par manque d’intérêt ça ne changera pas grands choses.
Ma clique d’accompagnateurs ainsi que moi-même se pointons donc jeudi soir aux Fouf’ afin d’aller chasser quelques spécimens. Rien de moins. J’avais révisé mes leçons quant à quoi faire et surtout quoi ne pas faire. Ma première soirée me servira inconditionnellement d’exemple. J’étais prête. Pas pressée. Avec l’œil ouvert à toutes possibilités s’offrant à moi.
S’amena donc trois jeunes hommes. Correct. Un plutôt mignon. Un plaisant petit jeune homme. Petit. Très petit. Mais peu importe. Il avait du style. Le style que je prise en plus. Parfait. Ce fut bien. Nous dansâmes. Et frenchâmes. Je m’amusais bien. Lui aussi probablement. Il était plutôt bien. Mon genre. Puis il quitta pour raison de tabagisme et ne réapparu plus. Ce fut un moment agréable.
Profitant de l’absence de leur camarade, les deux autres jeunes hommes s’essayèrent. Pas obligé. Non merci. C’est bien rigolo. Mais sans plus. Un jeune homme plutôt trop entrepreneur. Et pas vite vite. Puisqu’il ne comprenait avec mon body langage que j’en avais rien à foutre de sa personne, je décidai d’utiliser une formule qui normalement l’aurait fait déguerpir. Il est où ton petit ami de tantôt? Ce ne fut pas le cas. Il était tenace. Trop même. Même avec des commentaires plutôt disgracieux tels que T’es dont bien collant et T’as-tu fini? il résistait quand même. Vous savez ce qui est bien quand on sort avec une troupe d’amis de sexe masculins, c’est que nous nous dispersons tous sur le dance floor afin d’aller en chasse et que si j’ai un problème de jeune homme tenace je sais qu’ils peuvent me venir en aide. Le monsieur fatiguant et surtout entêté ne savait pas qu’il était juste à côté d’un de mes accompagnateurs. Au moins, personne n’a eu besoin d’intervenir, car il a fini par comprendre que je ne voulais vraiment rien savoir de lui. Il n’était simplement pas mon genre. Et la soirée était encore bien jeune. Je pouvais avoir mieux. Ce fut long, mais il finit par quitter. Il se réessaya à quelques reprises, mais en vain.
La soirée s’avançait. Je dansai avec des amis. Puis vint l’heure où les gens s’agglomèrent deux par deux. Le choix diminue. Ce n’était pas bien grave. J’étais seule. Je m’amusais. Je regardais. Puis j’en vis un. Un ravissant jeune homme. De loin, il était vraiment bien. Il dansait près d’un troupeau de filles. Je fis un eye contact qu’il reçut parfaitement et décida de se rapprocher de moi. Bon choix. De proche, il était vraiment bien. Wow. Excellent choix. Nous dansâmes. Nous frenchâmes. Sérieusement, il était extrêmement beau. Même si mon Capitaine de Soirée me reproche d’exagérer la situation à cause des facteurs tels que alcool, ambiance et faible luminosité, je sais pertinemment qu’il était très beau. Et nous nous amusâmes. Vraiment. J’y repense encore et je me dis que c’est fou à quel point ce jeune homme était magnifique et à quel point il accotait presque tous mes standards. C’était et il était splendide. Plus j’y pense, il ressemble vraiment beaucoup à Jim Morrisson. Mais en châtain clair. Mais bon. Bref, je bavais littéralement. C’était magique. J’amplifie. J’agis tellement comme une groupie. Jugez-moi.
Nous sommes donc aller nous chercher une bière. Même à la lumière il était extrêmement beau. Et sweet. Et gentil. Et tout.
Et il me parla. Et j’entendis sa voix. C’est fou tout ce qu’on peut s’imaginer d’une personne jusqu’à temps qu’on lui parle. Tout s’effondre et un autre tout se reconstruit en moins d’une seconde.
Il me parla. Je fis le saut. Je restai surprise. Tu parles tu français? Oh oui. Je viens de Paris. Jezzz non. Hell no. Ce qu’il faut comprendre ici, c’est qu’il y a à peine trois jours je disais à mon Capitaine de Soirée que les autres cultures en général ne me dérangent pas. Que l’exotisme ça peut être intéressant. Mais que je ne voulais certainement pas me pogner un Français, un Belge ou un Suisse. Va savoir pourquoi. Moi et mes préjugés. Qui se sont évaporés en une seconde. Oh oui. C’est quand même cocasse.
Et malheureux. Je rencontre le mec le plus sexy de toute ma vie et il habite à un océan de distance de chez moi. Le reste de la soirée fut très agréable. Et nous nous quittâmes. Comme deux ratés. Qui ne se sont point demandés leurs noms.
J’ai dansé et frenché avec le gars le plus sexy rencontré dans toute ma vie (so far…je sais) et la seule chose que je sache à son sujet c’est son âge, sa ville de résidence, qu’il est en vacances à Montréal et qu’il dort sur St-Laurent. Bravo. Et il n’en sait aucunement plus sur moi.
Je sais qu’il y en aura d’autres magnifiques jeunes hommes. Mais je vais faire mon enfant gâtée en disant C’est lui que j’veux et rien d’autre. Bon. Lui, il était spécial.
C’est pourquoi j’ai parcouru MySpace (comme une ratée, je sais) pour tenter de revoir son joli minois. 3000 jeunes hommes français âgés de 20 ans ont défilé sous mes yeux. Et mes préjugés envers les jeunes messieurs en provenance de l’Hexagone ont extrêmement diminué. Il y des beaux spécimens dans ce coin-là. Je crois que je l’ai retrouvé. Ouin pis? me direz-vous. Je sais pas. Rien. Je lui envoyé un message pour savoir s’il avait été à Montréal dernièrement.
Je ne suis pas en amour. Je ne fais que baver. Il était tellement beau. Wow.
Ma clique d’accompagnateurs ainsi que moi-même se pointons donc jeudi soir aux Fouf’ afin d’aller chasser quelques spécimens. Rien de moins. J’avais révisé mes leçons quant à quoi faire et surtout quoi ne pas faire. Ma première soirée me servira inconditionnellement d’exemple. J’étais prête. Pas pressée. Avec l’œil ouvert à toutes possibilités s’offrant à moi.
S’amena donc trois jeunes hommes. Correct. Un plutôt mignon. Un plaisant petit jeune homme. Petit. Très petit. Mais peu importe. Il avait du style. Le style que je prise en plus. Parfait. Ce fut bien. Nous dansâmes. Et frenchâmes. Je m’amusais bien. Lui aussi probablement. Il était plutôt bien. Mon genre. Puis il quitta pour raison de tabagisme et ne réapparu plus. Ce fut un moment agréable.
Profitant de l’absence de leur camarade, les deux autres jeunes hommes s’essayèrent. Pas obligé. Non merci. C’est bien rigolo. Mais sans plus. Un jeune homme plutôt trop entrepreneur. Et pas vite vite. Puisqu’il ne comprenait avec mon body langage que j’en avais rien à foutre de sa personne, je décidai d’utiliser une formule qui normalement l’aurait fait déguerpir. Il est où ton petit ami de tantôt? Ce ne fut pas le cas. Il était tenace. Trop même. Même avec des commentaires plutôt disgracieux tels que T’es dont bien collant et T’as-tu fini? il résistait quand même. Vous savez ce qui est bien quand on sort avec une troupe d’amis de sexe masculins, c’est que nous nous dispersons tous sur le dance floor afin d’aller en chasse et que si j’ai un problème de jeune homme tenace je sais qu’ils peuvent me venir en aide. Le monsieur fatiguant et surtout entêté ne savait pas qu’il était juste à côté d’un de mes accompagnateurs. Au moins, personne n’a eu besoin d’intervenir, car il a fini par comprendre que je ne voulais vraiment rien savoir de lui. Il n’était simplement pas mon genre. Et la soirée était encore bien jeune. Je pouvais avoir mieux. Ce fut long, mais il finit par quitter. Il se réessaya à quelques reprises, mais en vain.
La soirée s’avançait. Je dansai avec des amis. Puis vint l’heure où les gens s’agglomèrent deux par deux. Le choix diminue. Ce n’était pas bien grave. J’étais seule. Je m’amusais. Je regardais. Puis j’en vis un. Un ravissant jeune homme. De loin, il était vraiment bien. Il dansait près d’un troupeau de filles. Je fis un eye contact qu’il reçut parfaitement et décida de se rapprocher de moi. Bon choix. De proche, il était vraiment bien. Wow. Excellent choix. Nous dansâmes. Nous frenchâmes. Sérieusement, il était extrêmement beau. Même si mon Capitaine de Soirée me reproche d’exagérer la situation à cause des facteurs tels que alcool, ambiance et faible luminosité, je sais pertinemment qu’il était très beau. Et nous nous amusâmes. Vraiment. J’y repense encore et je me dis que c’est fou à quel point ce jeune homme était magnifique et à quel point il accotait presque tous mes standards. C’était et il était splendide. Plus j’y pense, il ressemble vraiment beaucoup à Jim Morrisson. Mais en châtain clair. Mais bon. Bref, je bavais littéralement. C’était magique. J’amplifie. J’agis tellement comme une groupie. Jugez-moi.
Nous sommes donc aller nous chercher une bière. Même à la lumière il était extrêmement beau. Et sweet. Et gentil. Et tout.
Et il me parla. Et j’entendis sa voix. C’est fou tout ce qu’on peut s’imaginer d’une personne jusqu’à temps qu’on lui parle. Tout s’effondre et un autre tout se reconstruit en moins d’une seconde.
Il me parla. Je fis le saut. Je restai surprise. Tu parles tu français? Oh oui. Je viens de Paris. Jezzz non. Hell no. Ce qu’il faut comprendre ici, c’est qu’il y a à peine trois jours je disais à mon Capitaine de Soirée que les autres cultures en général ne me dérangent pas. Que l’exotisme ça peut être intéressant. Mais que je ne voulais certainement pas me pogner un Français, un Belge ou un Suisse. Va savoir pourquoi. Moi et mes préjugés. Qui se sont évaporés en une seconde. Oh oui. C’est quand même cocasse.
Et malheureux. Je rencontre le mec le plus sexy de toute ma vie et il habite à un océan de distance de chez moi. Le reste de la soirée fut très agréable. Et nous nous quittâmes. Comme deux ratés. Qui ne se sont point demandés leurs noms.
J’ai dansé et frenché avec le gars le plus sexy rencontré dans toute ma vie (so far…je sais) et la seule chose que je sache à son sujet c’est son âge, sa ville de résidence, qu’il est en vacances à Montréal et qu’il dort sur St-Laurent. Bravo. Et il n’en sait aucunement plus sur moi.
Je sais qu’il y en aura d’autres magnifiques jeunes hommes. Mais je vais faire mon enfant gâtée en disant C’est lui que j’veux et rien d’autre. Bon. Lui, il était spécial.
C’est pourquoi j’ai parcouru MySpace (comme une ratée, je sais) pour tenter de revoir son joli minois. 3000 jeunes hommes français âgés de 20 ans ont défilé sous mes yeux. Et mes préjugés envers les jeunes messieurs en provenance de l’Hexagone ont extrêmement diminué. Il y des beaux spécimens dans ce coin-là. Je crois que je l’ai retrouvé. Ouin pis? me direz-vous. Je sais pas. Rien. Je lui envoyé un message pour savoir s’il avait été à Montréal dernièrement.
Je ne suis pas en amour. Je ne fais que baver. Il était tellement beau. Wow.

Sosie du jeune homme.
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